Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
France Soir
par La rédaction
[Un] film bruissant d’aventures, de souffrance et d’amour. France-Soir, 12 mars 97
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Anthony Minghella a trouvé une voie originale pour simplifier le récit sans l’appauvrir et faire vibrer les sentiments extrêmes sans les caricaturer. Télérama, 12 mars 97
Cahiers du Cinéma
par Bernard Bénoliel
Avec son goût pour les charmes surrannés, la lumière d'Italie, ses audaces de pacotilles et la fausse sérénité d'un filmage assoupi, "Le patient anglais" donne surtout le sentiment de douter de ses propres moyens. Cahiers du cinéma 511, mars 97
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
L’innocence et la candeur d’esprit ne sont pas des vertus condamnables, mais elles ont peu de choses à faire dans un film qui réclamait autrement plus de cruauté et de perversité. Le Monde, 13 mars 97
Positif
par Michel Ciment
Chaque comédien fait impeccablement son travail, même si Juliette Binoche se voit offrir un personnage sans véritable épaisseur, les ingrédients du romanesque sont habilements mis en place, mais l'ensemble de l'entreprise semble trop formaté. Positif 434,
France Soir
[Un] film bruissant d’aventures, de souffrance et d’amour. France-Soir, 12 mars 97
Télérama
Anthony Minghella a trouvé une voie originale pour simplifier le récit sans l’appauvrir et faire vibrer les sentiments extrêmes sans les caricaturer. Télérama, 12 mars 97
Cahiers du Cinéma
Avec son goût pour les charmes surrannés, la lumière d'Italie, ses audaces de pacotilles et la fausse sérénité d'un filmage assoupi, "Le patient anglais" donne surtout le sentiment de douter de ses propres moyens. Cahiers du cinéma 511, mars 97
Le Monde
L’innocence et la candeur d’esprit ne sont pas des vertus condamnables, mais elles ont peu de choses à faire dans un film qui réclamait autrement plus de cruauté et de perversité. Le Monde, 13 mars 97
Positif
Chaque comédien fait impeccablement son travail, même si Juliette Binoche se voit offrir un personnage sans véritable épaisseur, les ingrédients du romanesque sont habilements mis en place, mais l'ensemble de l'entreprise semble trop formaté. Positif 434,